Alix Fernz

ART-PUNK | POST-PUNK

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Photo par Antoine Giroux

Rugueuse, contrastée et labyrinthique, la musique d’Alix Fernz (Montréal, QC) s’engage dans l’enclave scalène du post-punk tout en flirtant avec la pop hypnagogique, créant un hybride lo-fi entre synthwave et rock alternatif, sur lequel se greffent des mélodies accrocheuses, mais dénaturées. Chantant la vie de bar, les troubles psychosociaux, la drogue, l’addiction et la peur, et s’inspirant des talons hauts, du rouge à lèvres, du travestissement, de la mode et des bibittes, l’auteur-compositeur et interprète nous présente aux pieds de ses vers masqués d’effets un certain coming-of-age à l’ère cybernétique du like et du meme

Dès l’âge de 17 ans, Alix Fernz a.k.a. Alexandre « Spazz » Fournier complote dans le but de former un groupe de rock & roll. Au sein de son projet Blood Skin Atopic, le chanteur et multi-instrumentiste autodidacte fait paraître en rafale deux albums et un EP qu’il produit lui-même, soient Asocial Dolls, Spazz et Eczéma (Album punk de l’année au GAMIQ 2020), avant même de souffler ses vingt chandelles. Trois ans durant, il grogne en compagnie de ses acolytes, Vincent Lemay (Efy Hecks), Olivier Cousineau (Comment Debord) et Samuel Gendron (Allô Fantôme), des airs stridents sur un fond punk aux traits psychédéliques dans les salles cultes de l’underground montréalais. Plus récemment, il se joint de façon sporadique aux formations La Sécurité et Hippie Hourrah en tant que musicien de tournée.

Pour la suite des choses, Alix Fernz nous propose un premier album majoritairement francophone, délaissant tranquillement l’anglais pour chanter dans sa langue natale. Cherchant à synthétiser en un sérum tonique et résolument positif l’envie, l’angoisse, la colère, la révolte et la violence, il concocte dans un alambic au fond de sa chambre à coucher une pop hétéroclite en constante permutation, qui se montre tantôt innocente, tantôt ironique, mais toujours rocambolesque. Le montréalais nous présente Bizou, un premier opus sous sa nouvelle griffe, le 19 avril 2024 via Mothland.

BOOKING N/A:
JULIANA@MOTHLAND.COM
BOOKING QC:
ELIANE@AMBIANCESAMBIGUES.COM
PRESS:
PHIL@MOTHLAND.COM

 

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Il y a un peu de tout ça dans ce Bizou qui défie toute catégorisation. Mélange de punk, de chanson francophone, avec des ingrédients électroniques renvoyant au new wave. Un disque échevelé, spontané, explosif, qui frise parfois même la pop par la franchise de ses refrains.
— Le Devoir
Oozing sex and a distinctly devil-may-care, diva persona, Alix Fernz was a pleasure to watch Saturday night at Ausgang Plaza. Gritty, angular punk rock married beautifully with Fernz’s irreverent, borderline bratty vocals, which feel almost otherworldly once they’ve been filtered through his eclectic circuit board of synths and effects laid out on the table in front of them.
— PAN M 360
“Rouge à lèvres” is an absolutely thrilling listen. It’s jagged and unsettled, with an underlying groove that still binds everything together in a way that feels like a ton of fun.
— Cups N Cakes
Il faut reconnaitre que cette mouture est particulièrement rafraîchissante pour le paysage musical francophone actuel. L’univers et la présence de Fernz se démarquent avec une vraie singularité.
— LE CANAL AUDITIF
[...] Alix Fernz, a post-punk meets weirdo new wave alt-pop menagerie that felt like watching The Residents, Ian Dury & the Blockheads, mixed with a bit of Cleaners From Venus.
— CULT MTL

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PREMIÈRES PARTIES
Frankie & The Witch Fingers, Deli Girls,
Lumerians, Omni, This is Lorelei